L’extrême-gauche devient-elle la « tête de kurde » des immigrés ?

C’est tellement drôle que même si l’article ne vient pas de nous, nous le publions in extenso. Mon Dieu que c’est bon de rire !

Il n’est pas toujours facile d’être un Antifasciste en rouge et noir.

Voici une petite histoire qui se passe à Berlin, où un groupuscule d’extrème gauche s’est heurté à desproblèmes existentiels.

« Un groupe de criminels Kurdes qui se fait appeler’Street fighters’ demande une grosse somme d’argent au projet antifasciste pour les protéger », en clair, il veulent les racketter.

Plusieurs attaques sur des résidents montrent qu’ils ne plaisantent pas. Vendredi soir, et samedi matin, un groupe de 30 jeunes Kurdes s’est invité avec des battes de baseball à la fête des activistes de gauche qui se déroulait au 8 rue Schererstrasse à Berlin.

La nuit suivante, deux musiciens qui devaient jouer dans ce même lieu ont été attaqués.

Selon le journal allemand Der Tagesspiegel, les attaques semblent motivées par la demande d’une grosse somme d’argent de la part des Street Fighters au groupuscule “autonome” d’extrème gauche pour assurer leur “protection”.

Le club des immigrés, dirigé par Ahmed A., un Kurde bien connu des services de police, a son siège juste en face de celui des militants de gauche de l’autre coté de la rue. Tous les membres sont connus pour des violences graves et d’autres crimes.

Un travailleur social qui connaît quelques-uns des antifascistes a déclaré : « Ils ne savent plus sur quel pied danser car ils ne sont pas attaqués par des « nazis », ou par des « flics », mais par des immigrants. Cela ne correspond pas à leurs idées sur le monde. Ils disent que les Street Fighters mettent la pression sur eux pour les racketter.

Sur la page d’accueil de leur site internet, il est écrit : « Puisqu’il ne s’agit ni de nazis ni de flics, nos méthodes habituelles ne sont pas applicables.»

Les Antifas, contrairement à leurs politiques habituelles, refusent de parler à la presse de cette affaire. Le journal allemand Süddeutsche Zeitung écrit quant à lui « La vision du monde de la gauche est chancelante ».

Les antifa ont perdu « le nord » !

La maison de l’identité de Lille vient de rouler la mouvance antifa locale dans la farine.

Toutes les explications dans cet article.

Et nous ne résistons bien évidemment pas au plaisir d’y joindre cette vidéo qui,  outre de rappeler le « foutage de gueule », nous montre quelques beaux exemples de l’extrême-gauche du Nord de la France.

Un beau geste !

Chers gauchistes, chers antifa,

Nous prenons de plus en plus très au sérieux vos messages de défense des racailles de toutes sortes.

Vous serez donc heureux d’apprendre, et ce, grâce au souci de citoyens comme vous, que nous allons fonder une association qui sera nommée l’APAR : l’Association des Parents et Amis de la Racaille.

En accord avec les lignes directrices de ce nouveau groupe, nous avons donc décidé de placer une racaille par couple de militants « de gauche » et de les placer sous leur responsabilité et leur surveillance personnelle .

Amis de gauche, vos détenus, « invités particuliers », seront convoyés jusqu’à votre domicile sous escorte armée. Ces racailles, qui pourraient même être accompagnés par quelques militants pro-terroristes,  devront être pris par vous en charge, selon les normes que vous avez tant exigé pour eux dans vos revendications.

Nous mènerons des inspections régulières, afin de nous assurer que vos « invités » bénéficient des soins et de toutes les attentions que vous recommandez dans vos belles manifestations

Certains de vos invités seront des sociopathes violents  mais nous avons foi ! Nous savons qu’avec votre légendaire sensibilité, vous replacerez cette violence dans le contexte des « petits problèmes comportementaux » et cela vous aidera à surmonter d’éventuels troubles du caractère de vos invités.

N’est-ce pas vous qui décriviez ces problèmes comme de « simples problèmes du vivre-ensemble » ?

Un grand merci pour votre souci, nous apprécions vraiment que des citoyens modèles comme vous, chers libertaires de tous poils, nous indiquent enfin comment bien faire et comment s’occuper correctement de nos congénères,  fussent-elles des racailles sans foi ni loi.

Allez, bonne chance camarades !

Ca balance sec chez les antifa de Lille !

Le 29 janvier dernier, tous les participants à la marche pour Jeanne Maillotte s’étaient un peu inquiétés de savoir où était passée « l’avant-garde de la résistance antifasciste ». En fait, 50 clampins au look parfois très alternatifs avaient tenu un petit rassemblement vite fait pour dénoncer les odieux fascistes de la maison de l’identité à Lille et blabla… Il est vrai que, cette fois, les crapules marginales qui composent l’ultra-gauche lilloise ne pouvaient compter ni sur les syndicats ni sur le parti communiste pour les renforcer.

Maintenant, on le sait : « l’avant-garde de la résistance antifasciste » à Lille, ça fait 50 personnes à tout casser.

Ceci dit, il est possible que la petite dynamique qui existait chez nos chtis « red warriors » ait été aussi brisée par des querelles internes.

En effet, une violente polémique divise la « famille antifa » nordiste au sujet d’une certaine Corinne N., active dans le groupe « Action Contre le Fascisme » (ACF). On lui reporcherait ni plus ni moins d’ête une informatrice de la police et, pire encore, de la Vlaams Huis…

Et quand on parle de polémique, comprenez insultes, calomnies et menaces que s’échangent Corinne N. et son pote « Jojo Dupont » et leurs adversaires Homer Skinsoms et Paquito Macédo da Silva (merci de noter que tous les surnoms sont authentiques et ne sont en rien un canular !). 

Sans oublier que s’en mêlent sur facebook : corina goya, co-jo coukq et maiden choc…(une minute de répit, ça me fait trop rire…)

Que dire ? Sinon que c’est bon de rire ! Ah oui, un message perso à Corinne : si ça devient trop chaud, tant pis, exfiltre toi !

Mais qu'il est difficile d'être un flic en civil !