Le viol : obsession des antifa?

On savait qu’en France, plusieurs scandales de viols avaient éclaboussé l’extrême-gauche: Parti Communiste et groupes antifa. Mais il semble que le viol soit aussi un fantasme des « antifa » belges.

En effet, lors de la Marche noire contre la libération des pédophiles et tueurs d’enfants du 20 octobre dernier à Bruxelles, les « antifa » furent particulièrement irrités de constater l’omniprésence et la visibilité des militants de Nation.

Au point que l’un d’entre eux aurait dit à ses « camarades » qu’il aimerait violer et tuer les militantes solidaristes qui étaient sur place. C’est en tous les cas la rumeur lancée par des militantes de gauche qui, et pour une fois on sera d’accord avec elles, ont été choquées par ces dires particulièrement agressifs, sexistes et machistes. Sans compter que le dire dans une manifestation consacrée à la lutte contre les prédateurs sexuels. c’est un comble !

Mais l’auteur présumé de ces dires Sébastien C. (un anarchiste liégeois bien connu) est coutumier des menaces virtuelles. Nous n’avons donc que peu de craintes qu’il passe vraiment à l’acte…comme d’habitude. Néanmoins, et sans nous prononcer sur la véracité de ces dires, qu’il sache quand même que nous savons qui il est, tant dans la vraie vie que sur son compte Facebook et que nous savons à quoi il ressemble. Et que, en tant que « bons agents de la réaction » (LOL), nous nous ferons un devoir de transmettre tout cela aux autorités compétentes au cas où la moindre agression viserait un ou un(e) militant(e) de notre camp.

video 3

antifa : faux révolutionnaires et vraies crapules

 

Il y a bien un « système » : preuve par la photo !

Voici quelques jours qu’un militant flamand a posté la photo ci-dessous;

manu sessler

On y voit en effet d’un côté Manuel Abramovicz, soi-disant militant antifasciste et animateur de Résistances (officine d’info sur «  l’extrême-droite »), et de l’autre un cadre bruxellois bien connu du Vlaams Belang .

Certains dans le camp nationaliste prétendent que l’ antagonisme « gauche-droite » n’est que pièce de théâtre. Ils disent qu’en fait, d’une certaine extrême-gauche à une certaine extrême-droite, tous font partie du même système politico-médiatique dont ils ne forment que de pseudo-alternatives pour « encadrer » et « contenir » le mécontentement populaire.

La récente photo illustrant cet article semble donner raison à cette théorie.

Alors dans leurs deux camps respectifs, cela devrait quand même poser question.

Le 27 mai dernier, Manuel Abramovicz manifestait à Bruxelles contre la montée électorale du Vlaams Belang aux côtés d’activistes antifas masqués et prônant la violence comme mode d’action. Fin juillet, c’est à cette date que certains situent cette photo, il boit très amicalement un verre avec un cadre connu du même Vlaams Belang !

Est-ce que ça n’interpelle personne dans cette gauche soi-disant « antifasciste » ? La question suivante est bien entendu : de quoi ont-ils pu parler ? Surtout quelques jours à peine après que des activistes gauchistes aient endommagé l’entrée des bureaux du VB.

Dans le même ordre d’idées, doit-on trouver dans cette proximité, l’explication du fait que Résistances n’a pas relayé l’info (qui est un mauvais procès bien entendu)  lancée par son alter-ego flamand sur le fait que Filip De Winter avait récemment cité un texte de Léon Degrelle dans un discours en France ?

Pour ce qui est de l’autre protagoniste, la photo ne fait que confirmer ce qui se murmurait depuis bien longtemps[1]. L’intéressé ne semble d’ailleurs pas en faire secret puisque l’entrevue s’est tenue à 200 mètres des locaux du VB…

A noter que du côté francophone, ce n’est guère mieux puisqu’il n’est plus un secret pour personne qu’un ancien élu du FN belge est redevenu depuis quelques semaines, un informateur de Résistances, n’hésitant pas à fournir des informations sur les professions de militants nationalistes.

 

[1] Pour rappel, Manuel Abramovicz de son propre aveu ne dispose plus de carte de journaliste. On ne peut donc parler ici d’un « contact presse ».