Pour ceux qui avaient encore le moindre doute…

Ce dimanche 10 octobre, au sein de la manifestation pour le climat, le ban et l’arrière ban de l’extrême-gauche a profité de l’occasion pour se donner l’impression de compter et a organisé une sorte de bloc radical.

Au sein de ce bloc radical, le groupe «Classe Contre Classe » héritiers politiques des groupes terroristes gauchistes belges, voir ICI un précédent article sur eux.

Et cette présence a été relayée sans complexes en photos par l’équipe de soi-disant spécialistes de l’extrême-droite (Résistances) qui ne cache plus ses sympathies envers les gauchistes les plus virulents et les plus violents.

C’est sans doute le besoin d’adrénaline par personnes interposées 😉

Illustration reprise de Facebook

Ce Qu’il Fallait Démontrer…

Nous avons récemment évoquer le deal malsain et puant qui existaient entre certains membres d’une extrême-droite libérale et les gens du groupe « antifa » Résistances. Deal consistant à informer Résistances en échange du fait que cette officine continue à parler d’eux.

C’est souvent le même procédé d’ailleurs : ils placent le nom de leurs « gorges profondes » (surnom pour les balances) dans un article alors que rien ne justifiait vraiment d’en parler. Et le font en ajoutant des commentaires, somme toutes, pas si négatifs.

On peut encore en constater un probable exemple dans un très récent article de Résistances.

Comme dirait l’autre : « La collaboration, à fond ! »

Trotski…tue le ski ;)

La Gauche Anticapitaliste est une structure trotskiste, vieille comme le monde (lol), et qui depuis 1971 (et un certain âge d’or post-68) ne fait plus que survivre, en essayant sans cesse de changer sa formule. Comme par exemple, en changeant son nom à 4 reprises (lire ICI).

Cette ex-LRT, ex-POS, ex LCR n’est aujourd’hui plus en état de se présenter seule aux élections. Et depuis une collaboration électorale avec le PTB, qui les a bien utilisé avant de les jeter (lire ICI),  la G.A n’existe plus que par l’infiltration de ses militants au sein d’autres organisations ou mouvances (syndicats, défense des sans-papiers, etc…)

Mais quand on voit le niveau et la qualité de leurs autocollants, on comprend mieux que le gauchiste de base aille voir ailleurs. Nous avions déjà relevé cet autocollant, issu de leur branche « jeunes » et  (mal) inspiré du film « Retour vers le futur » (voir ci-dessous).

Mais nos observateurs ont pu voir un autocollant encore plus mal ficelé. En effet, regardez ci-dessous. De la manière dont c’est mis en page, on pourrait croire qu’ils disent que « l’argent, il y en a dans les poches…des travailleurs/travailleuses ».

Deuxième bizarrerie, la phrase suivante : « 1% des plus riches possèdent autant que les 50% les plus pauvres »…Relisez et réfléchissez à cette phrase et vous comprendrez qu’elle ne veut rien dire…sinon à penser que les plus riches ne le sont pas tant que ça. Il s’agit à priori d’une adaptation mal foutue d’une citation bien connue sur le fait qu’une petite partie de la population dispose d’autant de richesse que le gros de celle-ci.

Bref, ils pourront changer encore cent fois de nom, ils resteront mauvais !

Quelques nouvelles des  » antifa de droite « …

« Antifa de droite » est le nom que nous donnons aux gens « de droite  » qui collaborent, par opportunisme ou pour  régler  leurs comptes, avec la mouvance de gauche et/ou la presse, en leur  fournissant des infos sur la  « concurrence » de droite.

En contrepartie, les  » spécialistes  » de l’extrême droite acceptent de citer les « groupes » en question dans leurs articles pour donner l’impression qu’ils existent encore. Mais il faut  reconnaître que ça doit être bien difficile pour instant d’essayer de faire  croire que ces micro-groupuscules (pour faire dans le superlatif  à la con que la  gauche utilise sans cesse ….) existent encore.

Revue rapide de l’état de ces « collabos » 

Il y a ce soi-disant parti « européiste », dont certains cadres sont les « gorge-profondes » bien connues de sites « antifa », et qui semble en coma dépassé. On en veut comme preuve qu’il n’a plus publié le moindre article sur son propre site depuis plus de 2 mois. Idem sur les réseaux sociaux à l’exception d’un article sur une « réunion » du 21 Juillet dont on ne voit que les photos des orateurs et aucune de la salle (ça devait manquer de monde)…Quant à leur récente et annoncée « soirée spaghetti », on n’en trouve  trace nulle part. Ce qui implique que, soit ils ont le triomphe modeste, soit ce fut un nouveau bide.

Un de leurs dirigeants semble avoir anticipé le naufrage depuis un moment puisqu’il s’est reconverti dans le « tout identitaire » à la belge, alors qu’en été 2019, il proclamait juste le contraire et assumait une ligne multiculturelle (cohérence, cohérence,…). Il s’est lancé dans la production de podcasts qui n’arrivent néanmoins pas à faire plus démarrer cette énième initiative. Sans compter une vidéo de « soutien » à Marine Le Pen, à la chorégraphie tellement « originale » qu’elle est vite devenue la risée des réseaux sociaux, tant à gauche qu’à droite.

Il y a aussi cette structure liégeoise dont les dirigeants semblent avoir aussi eu des contacts avec certains « spécialistes » de l’extrême-droite. Ce qui ne semble pas avoir porté chance à leur site Internet qui semble déjà avoir disparu. Cette structure n’existe plus qu’en papillonnant d’un groupe anti-vax à l’autre, au gré des scissions dont d’ailleurs les rares membres font systématiquement partie.

A noter que dans un esprit de cohérence absolu, une des personnes de cette structure, alors qu’elle reprochait à Nation (son mouvement d’origine) d’être trop dur sur les questions liées à l’avortement et à l’homosexualité, s’est mise à tracter pour…Civitas Belgique, dont les positions en la matière sont pourtant bien connues et très tranchées. Tant dans les pratiques que dans les attitudes, on est vraiment dans le degré zéro de la conscience politique.

Groupuscule ? Vous avez dit groupuscule ?

Résistances, site anti-nationaliste bien connu, utilise à tout de bras l’expression « groupuscule ».

On va donc vous donner un exemple de vrai groupuscule. 

C’est par exemple une association dont on a l’impression que derrière des pseudonymes différents se trouvent un seul et même rédacteur.

C’est  une association qui arrive péniblement à produire 2 numéros de son journal en 2 ans et qui reconnait que leur équipe est « tellement nombreuse » qu’ils ont dû y «passer 2 nuits blanches» pour le réaliser.

C’est  enfin une association qui a difficile à publier autre chose sur sa page facebook que des reprises d’autres articles, alors qu’elle prétend avoir  une flopée de rédacteurs.

Bref, un groupuscule, c’est  Résistances !

Maoïstes, tendance Van Laethem !

Pour ceux qui l’ignorent, à l’issue du prochain Congrès du mouvement identitaire Nation, son fondateur Hervé Van Laethem en quittera la direction. Nul doute qu’il recevra nombre d’éloges de son camp politique et la rédaction d’Antifaahahah sera bien entendu de la partie car nous n’oublions pas qu’il a accepté de mettre le nom de domaine de notre site à son nom…

Mais en l’occurrence ici, c’est d’un tout autre côté qu’est venu une sorte d’hommage, sans doute involontaire…

En effet, un site gauchiste intitulé « Vive le maoïsme[1] » (comprenez « Vive Staline donc » comme le démontre l’illustration qu’ils utilisent en tête de leur site Internet et que vous retrouvez ci-dessous)  s’est fendu d’une analyse très marxiste sur l’affaire Jürgen Conings…

Dans cette analyse, ils parlent aussi beaucoup d’Hervé Van Laethem. Et si au début, ça part mal puisqu’ils parlent du style grumeleux, épais et larmoyant qui est le sien…concernant une interview qu’il avait donné au site de réinformation BelgicaNews

Mais plus loin par contre, et c’est plus étonnant, ils font un portrait plutôt positif…Nous citons « Les fascistes se veulent des idéalistes, des gens aux valeurs « supérieures » se rebellant par la moquerie et le « panache ». Ils se veulent romantiques, ils ont le culte du tragique, de la gloire, du « dépassement de soi », ils pensent que la nation compte plus que tout et que celle-ci doit se battre pour survivre : nous avons en cela un portrait fidèle de H. Van Lathem. »

Il paraît que ça a beaucoup touché Hervé (LOL)qui nous a confié « qu’il savait bien que dans le fond, des gens qui détestent autant les trotskistes[2] ne pouvaient pas foncièrement être mauvais »…(RE-LOL)


[1] Issu du Centre Marxiste-Léniniste-Maoïste de Belgique

[2] Les maoïstes détestent profondément les trotskistes suite au schisme que ces derniers ont provoqué au sein du mouvement communiste international mais aussi à cause de leur stratégie d’entrisme au sein de la social-démocratie. Du côté des nationalistes, les trotskistes sont vus comme l’incarnation de la vision cosmopolite du communisme…

Cela a au moins le mérite d’être clair et ça change des faux-culs du PTB…

Résistances ne sait toujours pas compter !

Par le passé, nous avions déjà publié nombre d’exemples où les « fins limiers » (MDR) de Résistances étaient incapables d’évaluer correctement le nombre de participants à une activité nationaliste. Alors deux options, ils le font par parti pris mais alors, ils ne doivent pas se prétendre experts, car un expert donne les faits même s’ils lui déplaisent. Ou bien, ils ne savent toujours pas compter.

Les deux dernières illustrations de cet état de fait est la série d’actions liées au 1er mai dernier et menées par Nation mais aussi la manifestation de Voorpost du 16 Juin dernier à Malines.

Le 1er mai, suite à l’interdiction de son rassemblement à Liège, Nation avait néanmoins mené quasiment trois séries d’actions à Bruxelles, Charleroi et Liège. On voit clairement sur les photos ci-dessous qu’il y a chaque fois au moins un groupe différent d’une dizaine de militants, donc cela signifie que pour des actions « interdites » et donc forcément sans grande publicité publique, Nation avait pu mobiliser une trentaine de militants. Ce qui implique que si le rassemblement avait été autorisé, encore bien plus de personnes auraient sans nul doute participé à celui-ci. Mais Résistances continue néanmoins à affirmer que Nation ne rassemble au maximum que 15 personnes.

Pour ce qui est de la manif Voorpost, Résistances est sans doute le seul média à ne voir qu’à peine 200 personnes alors que tous les autres  parlent de 500 manifestants. Et les photos parlent là aussi d’elles-mêmes.

Résistances, plus que jamais, le degré zéro de l’information !

Les « collabos » des antifa !

Nous avons déjà évoqué le « deal  » conclu avec certaines personnes « d’extrême droite » et l’officine anti-nationaliste « Résistances ». Deal dont le concept est le suivant : les uns balancent à Résistances, et en contrepartie, Résistances les ménage voire même leur donne une importance très exagérée. Ainsi la moindre de leur réunion dans une arrière cuisine est présentée par Résistances comme un scoop intergalactique et la preuve du développement (lol) irrésistible (relol) du groupe en question.

A un autre niveau, voici 2 ans, a circulé une photo d’un animateur de Résistances, attablé en toute camaraderie avec un cadre bruxellois du Vlaams Belang. Et selon nos informations, ces rencontres se tenaient de manière régulière.

Mais du côté francophone, on possède aussi ce genre d’individus que nous avons baptisé « antifa de droite » et qui souvent appartiennent à cette droite molle et lâche, cette droite sans vraie conviction, toujours en retard d’une génération, ringarde et prête à tout pour essayer que le système les avantage un petit peu. Y compris jusqu’à collaborer avec la flicaille de la pensée de gauche pour régler leurs comptes.

Et au plus, ils vont mal politiquement, au plus ils s’enfoncent dans ce genre de comportement.

Ainsi récemment, le site Résistances a cité une note interne de Nation datant de plusieurs années, présentant celle-ci comme un fichage politique des militants de Nation.

Nous nous sommes donc renseignés auprès de la direction de Nation qui nous explique qu’il ne s’agit pas de fiches politiques, ce qui serait absurde puisque par définition, lorsque quelqu’un adhère à un mouvement, on n’a plus besoin de le situer politiquement…

La direction de Nation nous parle de notes internes de sécurité, destinées à informer la direction du Mouvement de l’époque de suspicions existantes envers quelques personnes par rapport au fait qu’elles auraient été des informateurs de services de police ou de renseignement. A Nation, on nous dit que c’était aussi leur devoir de protéger les autres membres par rapport à d’éventuels informateurs de police.

Rappelons qu’il est bien connu que les services de répression essaient de s’informer par tous les moyens sur toutes les organisations considérées comme «subversives»

Nous avons même pu consulter une de ses notes de sécurité. Selon Nation, il n’y en aurait eu que 2, concernant au total 4 personnes.

Nous y avons lu nombre de précautions :

  • « des scrupules à jeter l’opprobre sur des « camarades » contre lesquels, on a rarement des preuves formelles et par rapport on a toujours peur, malgré tout, de se tromper »
  • Il faut néanmoins être très prudent avec ce genre de choses.
  • un faisceau de présomption qui font penser
  • d’avoir un doute raisonnable par rapport à la personne.

Quant aux soupçons, pour ceux que nous avons lu (et sans porter de jugement), il sont accompagnés soit de documents soit de faits précis qui, en tous cas, posent en effet question.

Bon ceci dit, et pour en revenir à l’objet de cet article, ce qui nous intéresse, c’est surtout qui a bien pu donner à Résistances, cette note ? Ici l’investigation est facile à faire, vu que selon la direction de Nation, cette note n’avait été en possession que des 3 membres de la direction du Mouvement à l’époque (en 2017 !).

L’un des trois a claqué la porte de Nation en 2019, a essayé de lancer une dissidence (qui vivote) avant d’en démissionner déjà en 2020. Et il a d’ailleurs fourni (et c’est officiel) cette note aux services de police dans le cadre d’une plainte qui n’a rien à voir avec le sujet et pour une raison que l’on ne perçoit pas trop puisqu’elle ne représente en rien, un fait illégal.

Alors peu nous importe que quelqu’un ait des griefs (justifiés ou non) envers Nation, peu importe que quelqu’un ait fourni directement ou indirectement ces infos à Résistances, nous estimons inacceptable de collaborer avec des sites tels que Résistances et pour quelque raison que ce soit.

La meilleure preuve que c’est toujours se tirer une balle dans le pied, c’est qu’à cause de cette indiscrétion, Résistances a mis publiquement[1] au pilori, un individu qui justement avait rejoint la dissidence anti-Nation.

Comme quoi, le serpent finit toujours par se mordre la queue !


[1] alors que cette note semble avoir été d’une diffusion très limitée pour justement éviter les accusations péremptoires

Certains comportements sont
à vomir

Résistances ou l’art de se fâcher avec tout le monde!

Dans une longue analyse consacrée au fait de savoir s’il fallait ou non manifester contre le rassemblement du mouvement Nation, à Liège le 1er mai prochain, le site anti nationaliste tape pas mal sur la mouvance militante antifa.

Quelques extraits :

  • Elle (l’extrême-droite NDLR) tend des pièges aux antifascistes pour en faire des «idiots utiles»
  • Il existe encore un Front antifasciste local actif (à Liège NDLR), certes pour le moment en hibernation.
  • S’il n’est possible que d’organiser une toute petite mobilisation, avec une dizaine de personnes et quelques punks à chien, il serait mieux de ne pas y aller.

Après s’être bien pris la tête avec la mouvance féministe et laïque, c’est dans la mouvance antifa « dure » que Résistances risque de ne plus avoir beaucoup d’amis.

L’annonce qui lance débat chez les gauchistes : contre-manifester ou pas ?

13 ans déjà !

A l’occasion du 13ème anniversaire du lancement de ce site, le Mouvement Nation nous a demandé une petite interview que vous pourrez lire ici : https://www.nation.be/2021/03/23/13-ans-dantifa-ahahah/

Profitons en néanmoins pour rappeler que si bien évidemment, Nation nous a bien soutenu, nous sommes ouverts à collaborer avec TOUS les patriotes sains et que nos articles peuvent être repris par qui le veut, à condition de citer les sources…