Quand ce n’est pas nous qui le disons !

C’est la guerre dans la gauche bien-pensante. Deux auto-proclamés détenteurs de la vérité quant à savoir ce qui est bien ou non s’entredéchirent par articles réciproques. A savoir Marcel Sel (essayiste, polémiste et un des auteurs des textes de l’émission radio « Votez pour moi ») et Manuel Abramowicz (autoproclamé spécialiste de l’extrême-droite et quasi-seul animateur du site Résistances).

On a oublié le problème d’origine mais ça doit avant tout être un problème d’égo surdimensionné. C’est d’ailleurs assez cocasse puisqu’ils se gaussent souvent de la désunion de « l’extrême-droite »…

Ce qui est très intéressant, c’est de voir l’analyse que font des gens de gauche (et Marcel Sel en est indiscutablement un) du site Résistances, organe de presse anti-nationaliste…

Nous citons donc, en italique, Marcel Sel qui a écrit les amabilités suivantes sur son blog au sujet d’Abramovicz.

Il se dit le « Coordinateur du web-journal de l’Observatoire belge de l’extrême droite ». Une position apparemment très officielle (« Observatoire belge… ») qui semble impliquer des choses comme une méthodologie rigoureuse, la déclaration d’un objectif sociétal, une indépendance politique. En réalité, cet observatoire au nom ronflant n’existe réellement que par son « webzine », ResistanceS, une initiative privée, qui n’implique évidemment que ses initiateurs. Mais permet aux médias de les présenter comme des experts.

Ce n’est pas la première fois qu’Abramowicz trébuche déontologiquement parlant. Pire : la méthode utilisée (culpabilité par association et insinuations) et le ton accusateur de Manuel Abramowicz et Julien Maquestiau à mon égard fait furieusement penser aux méthodes appliquées par ce qu’ils combattent avec, désormais, une maladresse tragique. À notre détriment à tous.

Cette accumulation d’insultes et d’associations sulfureuses à mon égard donne l’impression que ne pas penser comme Abramowicz ou Maquestiau ou ne pas approuver leur point de vue est un de crime lèse-RésistanceS.

Cet épisode est pénible pour RésistanceS, condamné pour avoir utilisé une identité falsifiée, et critiqué une première fois par l’Association des Journalistes professionnels pour le moyen utilisé et une seconde fois pour un communiqué trompeur de Manuel Abramowicz qui avait « manipulé » une décision du Conseil de Déontologie journalistique au profit de RésistanceS.

Je voulais ainsi souligner la maladresse récurrente de « l’Observatoire belge de l’extrême droite » qui permet à ses cibles naturelles de se présenter en victimes, et démolit ses alliés objectifs (par exemple parce qu’on considère qu’on ne peut être antifasciste sans être aussi anticommuniste), donnant l’impression d’un sectarisme paranoïaque. Car les mésaventures de RésistanceS au tribunal font aujourd’hui encore mousser l’extrême droite de plaisir.

Il reste à espérer que RésistanceS se calmera, se ressaisira, reverra sa copie et, plutôt que d’appliquer des méthodes trotskistes — un camp que Manu a fréquenté dans sa jeunesse — dès que quelqu’un ose lui faire une remarque, il admettra qu’il n’y a pas de démocratie sans débat, et pas de débat sans un minimum d’ouverture à la critique et au sarcasme. Une leçon qui vaut bien un fromage, sans doute. Même si en l’occurrence, ce fromage sent un peu le ranci.

De plus, injure suprême, Abramovicz aurait soutenu que Sel avait permis, par ses écrits, au groupe Nation d’attaquer Résistances…Marcel Sel, pote avec Nation…décidément Résistances a des scoops LOL

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Manuel Abramowicz, supplétif du « FN » belge ?

Après avoir martelé pendant maintenant des années que le Front National avait disparu en Belgique francophone, sur ordre de la présidente du parti français éponyme, voilà que Manuel Abramowicz, le prétendu journaliste d’investigation qui est la risée des véritables reporters depuis qu’il s’est fait infliger une correction morale en justice l’année passée par un ancien militant de ce parti, fait volte-face et affirme, urbi et orbi, que le FN belge a ressuscité et vient de fêter ses 30 ans !

L’individu a publié voici quelques jours sur son blog une photo de cet « événement », accompagnée d’un bref commentaire. Sur cette photo, réalisée par « Manu » lui-même, qui avait été personnellement invité sur place par les organisateurs, figuraient, entre autres, parmi une dizaine de  personnes, Daniel Féret, sa plus jeune fille, qu’il ne désespère pas de pouvoir lancer un jour en politique, et un certain Alain Sadaune (à l’arrière), ancien député wallon « FN », dont la moindre des choses que l’on puisse dire au sujet de son bilan parlementaire est qu’il brille par son indigence, les annales (parlementaires) étant là pour en témoigner.

La raison de ce soutien, à première vue inattendu de la part d’un prétendu antifasciste, est simple : en collaborant activement avec le pseudo-FN belge et en se chargeant de sa promotion, Manuel Abramowicz fait d’une pierre deux et même trois coups.

En effet, une telle escroquerie politique a le grand avantage, pour un militant trotskyste tel que Manuel Abramowicz, d’être totalement inoffensive et d’occuper inutilement pour leur cause, à la fois les forces militantes et les suffrages des électeurs intéressés par ce courant politique.

En même temps, ce faisant, ce « FN » parasite occupe du terrain politique que d’autres groupes, authentiquement militants (nous pensons au parti Nation que nous on aime bien, pour rien vous cacher) pourraient utiliser autrement plus utilement.

Nation, qui se développe de plus en plus depuis l’interdiction officielle, tout à fait authentique, du FN en Belgique par Marine Le Pen en 2012, verrait dans ce pseudo-parti nationaliste, un concurrent certes inefficace sur le terrain mais susceptible de tromper les militants et les électeurs sur la marchandise en usurpant le sigle du parti français et en présentant au suffrage populaire des individus infréquentables, incompétents, moralement et parfois pénalement condamnables et condamnés.

De plus, la ré-introduction du sigle FN en Belgique par Nicotra and co pourrait constituer un obstacle à l’arrivée d’une réelle succursale du parti de Marine Le Pen dirigée par son avocat Ghislain Dubois, ainsi que le suppose Manuel Abramowicz depuis quelque temps déjà.

Enfin, le retour de ce véritable cirque politique est l’occasion pour Manuel Abramowicz de donner un coup de pouce à son « facho-business » et de faire tourner sa petite boutique trotskyste appelée « RésistanceS.be » qui lui ouvre régulièrement les portes de chaînes de télévision, malgré le manque évident de fiabilité de ses propos, par ailleurs déjà largement exposé sur ce blog.

Pour conclure, la dernière compromission de Manuel Abramowicz avec la fange du paysage nationaliste francophone démontre, elle, que l’on ne peut faire confiance ni à l’un ni aux autres.

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A 30 contre 10, les antifa anglais reculent ! De Bruxelles à Londres, la même vaillance !

Quenelle…pardon querelle entre bobos moralisateurs !

Marcel Sel est une de ces figures de l’intelligentsia de gauche qui, dans des éditoriaux longs et pompeux, décerne des bons et mauvais points de citoyenneté et de bien-pensance.

S’il attaque régulièrement « l’extrême-droite », il ne se gêne parfois pas pour s’en prendre à ce que lui appelle « l’extrême-gauche ».

Ainsi, il a récemment vertement critiqué le fait que le PTB avait invité le rappeur Medine à sa grande fête annuelle qui doit se dérouler mi-septembre.

Il reproche à Medine un anti-sionisme suspect d’antisémitisme et surtout d’être proche de la mouvance Dieudonné.

Immédiatement, il s’est fait rappeler à l’ordre par Manuel Abramovicz, autre auto-proclamé moralisateur qui a accusé Sel de « faire un faux procès », « d’erreur de jugement », de chasse aux sorcières ».

Ce qui a provoqué une réaction virulente de l’intéressé et a permis au petit monde bobo de se faire une guéguerre virtuelle sur les réseaux sociaux.

Outre la nouvelle démonstration qu’à gauche, les égo sont à ce point démesurés qu’ils n’arrivent plus à se tolérer; cet épisode et le texte qu’il a écrit démontre que Manuel Abramovicz ne cache plus sa proximité avec le PTB qu’il défend clairement dans son texte.

Quand on sait que l’intéressé a passé sa jeunesse dans une organisation trotskiste (Ligue Révolutionnaire des Travailleurs), ennemie jurée des maoïstes du PTB. Et que cette LRT fut l’ancêtre de l’actuelle LCR (Ligue communiste Révolutionnaire) qui s’est fait récemment rouler dans la farine par le PTB (qui les a utilisé dans un cartel électoral avant de les en rejeter) ; on doit remarquer que l’intéressé n’est vraiment pas rancunier. A moins qu’il n’ait décidé de soutenir le plus fort…

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Ce que le PTB pense vraiment de Syriza !

Lorsque Syriza a gagné les élections en Grèce, toute l’extrême-gauche belge nous a fait une descente d’organes en insistant sur sa proximité avec ce parti qualifié d’extrême-gauche par les médias.

 Mais les gauchistes belges ont-ils toujours été aussi pro-Syriza ? Pas si sûr !

Ainsi le très maoïste PTB qui dans sa revue théorique « Etudes Marxistes » écrivait ceci au sujet de la possibilité pour les partis come Syriza d’arriver au pouvoir :

Ainsi, la participation (de partis communistes) à des gouvernements dans de telles conditions signifie uniquement la participation à la régression sociale, même si elle peut s’en trouver quelque peu ralentie. Cela signifie désarmer la résistance en donnant de faux espoirs au mouvement ouvrier.

Depuis, Syriza a gagné les élections et le PTB a été jusqu’à sacrifier sa vieille amitié avec le parti communiste grec KKE pour être dans les petits papiers de Syriza.

 Décidément, au PTB, le populisme et le reniement semble être devenus les seuls vraies lignes idéologiques.

Black-list antifa ?

NZFAIN2GLes vacances sont propices à regarder les archives. A cette occasion, nous avons retrouvé un article vengeur datant de mai 2015 et publié sur le blog de l’inénarrable animateur du site anti-nationaliste et pro-sioniste Résistances.

Les cibles de ce peu sympathique article n’étaient pas, cette fois, les méchants et dangereux factieux d’extrême-droite mais bien des intellectuels et journalistes qui ont commis le crime de lèse Manuel Abramovicz (l’animateur quasi unique de ce site/blog/page FB) : ne pas l’avoir soutenu lors du procès qu’il a perdu contre un ex-membre du FN dans une affaire de « faux-profil facebook ».

Nous citons donc ci-dessous un extrait de ce qu’il écrivait donc dans un article intitulé « Faux profil Facebook pour une journaliste de la RTBF » :

« Pour nous soutenir dans cette saga judiciaire qui durera près de quatre ans, un appel public sera lancé. Une minorité de ceux qui furent invités à le signer refusa. Souvent pour d’étonnantes raisons et, dans la plupart des cas, en apportant des explications alambiquées ou maladroites.

Il s’agit d’Henri Goldman (codirecteur de la revue Politique), de Jérôme Jamin (politologue à l’Université de Liège et rédacteur en chef du journal des Territoires de la mémoire), d’une partie du conseil d’administration de la section belge francophone de la Ligue des droits de l’Homme, de l’association Bruxelles laïque (la régionale du CAL) … toujours conseillés en la matière par le même Jean-Jacques Jespers (ex-journaliste de la RTBF). »

Ce règlement de comptes public ressemble à une tentative de « black-lister » ceux qui osent, fussent-ils de gauche bien-pensante, ne pas aimer les méthodes d’Abramovicz. On comprend
mieux pourquoi il a tant d’amis dans son propre camp et comment parfois quelques infos se perdent chez nous sur son compte…

« Antifa » : ils font plus que jamais partie du système !

L’extrême-gauche aime bien jouer aux « anti-flics » et « anti-système » même si on sait bien qu’ils sont les meilleurs collabos du système politico-financier dans lequel nous vivons.

Le savoir est une chose, c’est mieux de le démontrer.

Commençons par le groupe anti-nationaliste Résistances qui, voici quelques temps, reconnaissait dans un de ses propres articles qu’il avait des contacts avec les services de renseignement. Et bien manifestement, il a aussi des contacts dans le monde judiciaire comme le prouve une info qu’il vient de publier ce 7 juillet sur sa page Facebook : à savoir que les militants du mouvement solidariste Nation, qui avaient été interpellés le 1er juin après une rixe qui les avaient opposé à un « punk à chien sans le chien », allaient comparaître devant le tribunal le 1er septembre.

Le hic, c’est que renseignement pris, les intéressés n’ont toujours pas reçu de convocation…La question est donc : comment Résistances connaît-il la date de comparution puisque le groupe n’est en rien partie prenante de cette affaire ? Poser la question est y répondre !

L’autre exemple est illustré par cette photo des JOC, groupe violent d’extrême-gauche en pleine action anti Nation et anti-police à proximité de la maison communale de Bruxelles. On y voit Thomas Englert, théorique grand mangeur de flic, en grande conversation bien cool avec deux de ces flics soi-disant abhorrés (dont un en civil). Et cette photo, tirée de leur propre mur Facebook, a été faite depuis les bâtiments de la ville de Bruxelles…

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Bien gentil avec la police et avec des potes à la ville de Bruxelles, on comprend mieux l’impunité des JOC !

Terroristes hier, « antifascistes » aujourd’hui , cafards toujours !

Si en Belgique, la page facebook Résistances (le site Internet semblant en panne pour toujours…) prétend être la référence dans l’information sur « l’extrême-droite » ; en France, c’est le site « La Horde » qui essaie  d’être à la pointe sur le sujet !

Les « connaisseurs » avaient pu remarquer comme certaines informations publiées par la Horde semblaient directement retirées de dossiers de police. Mais jusque-là, on était habitué à ce que les « antifascistes » collaborent de très près avec certains services de police afin de nuire aux formations politiques nationalistes, identitaires et/ou solidaristes.

Où ça devient bien plus inhabituel, c’est lorsqu’on apprend que l’animateur principal de ce site qui se targue de défendre la liberté, la démocratie et qui appelle la justice à réagir face à l’extrême-droite, n’est autre qu’un individu condamné à 10 ans de prison pour diverses actions violentes du groupe terroriste gauchiste Action Directe. Claude Halfen, c’est son nom,  avait même été poursuivi pour l’assassinat de deux policiers à Paris en 1983 mais avait finalement été acquitté faute de preuves suffisantes…

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Alors que des sites dits antifascistes soient animés par des gens d’extrême-gauche n’est pas une surprise pour nous. Nous disons depuis toujours que le prétendu « antifascisme » n’est qu’une tactique de l’extrême-gauche pour éliminer la concurrence politique nationaliste et accessoirement recruter de jeunes naïfs.

Non ce qui est particulièrement « caustique », c’est qu’un site qui prétend défendre la liberté et la démocratie soit animé par quelqu’un qui a combattu la démocratie, armes à la main, en faisant partie d’un groupe terroriste, Action Directe, qui a pas mal de sang sur les mains.

Il est évident que, plus que jamais,  nous n’avons aucune leçon à recevoir de ces vrais extrémistes de gauche, « anciens ?» terroristes et qui, directement ou indirectement,  ont du sang sur les mains !

Ce qui est tout aussi marquant, c’est que les bien-pensants « ennemis de tous les extrémismes » ne trouvent là rien à redire à se retrouver aux côtés d’un ancien terroriste dans la « lutte anti-nationaliste ». Il est vrai que maintenant, les bien-pensants, Halfen est en plein dedans…par l’intermédiaire de sa compagne Paula Jacques.  En effet, après avoir eu une condamnation clémente pour ses années Action Directe (18 mois de prison avec sursis), elle est devenue animatrice de radio sur France Inter et doit être une « valeur sûre » dans la nébuleuse « bobo » parisienne.

Et n’est-ce pas là le plus bel exemple de ce que fut la pathétique aventure des gauchistes : prétendus  révolutionnaires hier, petits soldats du système et ami des flics aujourd’hui !

Claude Halfen

Claude Halfen

PS : En Belgique aussi, certains animateurs de « Résistances » ne cachaient pas leur fascination pour les Cellules Communistes Combattantes (CCC) cousins belges d’Action Directe . Allant même jusqu’à offrir, lors de réunions qu’ils organisaient, des stands à des associations de soutien aux CCC …

R.I.P : Résistances in Pace !

ripL’ensemble de la rédaction de Antifa ahahah, ses équipes d’infiltration (LOL), de veilleurs sur Internet et ses informateurs ont le terrible devoir de vous faire part de la disparition du website des « auto-proclamés spécialistes de l’extrême-droite » de Résistances.

Enfin, quand on dit « disparu », comprenez-nous ! Les rédacteurs n’ont pas subitement cédé à la panique d’être les futur « Charlie » des islamo-fascistes, ils n’ont pas quitté la Belgique pour des cieux plus cléments (on ne parle pas de Meric ici hein…)

C’est juste le site qui n’est plus accessible, du moins sa partie la plus récente. Il a en effet été « hacké » et ce piratage dure depuis presque 2 mois !

 Comme quoi, les gens de Résistances semblent s’y connaître autant en informatique qu’ils s’y connaissent en extrême-droite…

PS : Promis, on n’y est pour rien. Limite, ça nous ennuie même un peu car ça nous prive de l’étude du site champion de la mauvaise foi, de l’amalgame et de la haine anti-identitaire…

Je suis Charlie, antifa et je fais des alertes à la bombe !

6a00d8341c65d453ef00e54f2b06d98834-800wiLe 11 janvier dernier, alors que des milliers de personnes défilaient à Bruxelles pour protester contre les attentats islamistes de Paris, une alerte à la bombe avait lieu dans les rédactions de plusieurs quotidiens belges dont « Le Soir ».

L’auteur n’était pas un fan d’Al Qaïda ou de l’Etat islamique mais bien un militant d’extrême-gauche qui fut longtemps actif au Front Anti Fasciste.

Thierry Carreyn, c’est son nom, a été rapidement identifié et interpellé par la police. Il n’est pas un inconnu, ni des services de police ni des observateurs de la scène d’extrême-gauche.

En effet, fin des années 90, l’intéressé était un militant actif du Front Anti Fasciste. Présent à de nombreuses contre-manifestations dirigées contre le Vlaams Blok, il était toujours parmi les plus virulents et cherchait systématiquement la confrontation.

Il passa vite de la manifestation de rue à l’action plus violente encore puisqu’en 1999, il ne se contenta pas d’une fausse alerte à la bombe  puisqu’il fit exploser une vraie bombe, cette fois, devant le siège national du Vlaams Blok à Bruxelles.

Il fut arrêté et jugé pour cet attentat. Attentat pour lequel, il bénéficia d’une suspension du prononcé ! C’est-à-dire qu’il fut reconnu coupable mais sans recevoir la moindre peine et sans rien sur son casier judiciaire. Pas de peine pour avoir déposé une bombe qui aurait pu blesser ou tuer des gens !!!  Lorsqu’on sait que des militants nationalistes ont pris des mois de prison pour de simples tracts, cela illustre bien la complaisance dont jouissent en Belgique les extrémistes de gauche.  De plus, sa nouvelle frasque démontre bien à quel point cette peine légère lui a servi de leçon !

Mais reste la question essentielle, pourquoi cette nouvelle menace contre des quotidiens qu’on ne peut que difficilement taxer d’extrémiste de droite ? Et pourquoi, maintenant ?

Et bien, il semble qu’il reprochait la trop grande couverture médiatique accordée aux attentats de Paris. Couverture médiatique qui favoriserait l’extrême-droite ! C’est-à-dire que malgré les  17 victimes tuées par des terroristes islamistes, le problème n°1 de cet individu est et reste la montée éventuelle de l’extrême-droite…

A la lecture de ceci mais aussi à la vision de son interview prise, par hasard, peu de temps avant sa fausse alerte à la bombe ; on peut vraiment se demander si la mouvance « antifasciste » n’est pas avant tout un déversoir pour tarés de toutes sortes voulant se donner bonne conscience en combattant ce que le politiquement correct leur a désigné comme « le mal absolu ».

On se soigne de ses névroses comme on peut !