QUI SOMMES-NOUS?

Ce site qui, au départ, avait une démarche ludique et humouristique s’est transformé petit à petit en une sorte d’observatoire de l’extrême-gauche.

Depuis 13 ans maintenant, nous avons démontré notre expertise en ce sujet en multipliant des analyses, jamais démenties ni par les faits ni par les intéressés. Nous savons aussi que certains de nos articles ont même provoqué des débats dans les milieux que nous étudions.

C’est pourquoi, nous pensons qu’il est temps de se « professionnaliser ».

Première chose, nous fonctionnerons dorénavant en « Observatoire des extrémismes de gauche » (OEG) qui, outre la publication régulière d’articles, se mettra à publier des brochures disponibles online. Dans ce cadre, nous collaborerons avec le Centre Solidariste d’Etudes Politiques.

Nous pensons qu’au moment où la violence d’extrême-gauche (avec le prétexte ou non du soi-disant « antifascisme ») monte en puissance un peu partout, il devient important de garder ce phénomène à l’œil et d’en prévenir l’opinion publique.

Pour le reste, nous nous retrouvons en grande partie dans ce qu’Alain de Benoist écrivait dans « L’alibi antifasciste » :

L’ antifascisme incantatoire, à fondement moralo-religieux (Hitler a remplacé le Diable dans l’imaginaire contemporain), est d’abord l’alibi d’une gauche qui, ayant à peu près tout trahi ou abandonné de ses anciennes convictions, se raccroche avec d’autant plus de force à cette thématique obsolète qu’elle espère ainsi faire croire (et se faire croire à elle-même) qu’elle n’a pas changé.

L’antifascisme est « la seule chose qui reste quand on a passé tout le reste par-dessus bord », observe Bernard Langlois. Et de même, François Darras : « A ceux-là qui, souvent, dans leur jeunesse, participèrent des mythologies d’extrême gauche, mais qui ont tourné casaque, ont tout rejeté, le bébé avec l’eau du bain, ne croient plus en rien, n’espèrent plus rien, ne se réclament plus d’aucun projet, récusent toute alternative, qui se sont ralliés sans complexes à la mondialisation néolibérale, qui préfèrent conseiller le patronat plutôt que conscientiser les idées, que reste-t-il ? Cela. Rien que cela : la dénonciation obsessionnelle du monstre fasciste ».

(…)

Dans la mesure où il pose un « fascisme » imaginaire en repoussoir par rapport auquel tous les maux présents deviennent acceptables, il constitue un moyen parmi d’autres de détourner l’attention : la dénonciation des dangers disparus est toujours une excellente façon de faire oublier les périls actuels (totalitarisme de l’argent, destruction du milieu naturel, arasement des cultures, montée de l’insignifiance, marchandisation du monde, aliénation et désocialisation des hommes réduits au rang de consommateurs, etc.).

Subsidiairement enfin, l’ « antifascisme » contemporain, qui ne cesse d’alimenter sous prétexte de « vigilance » des pratiques d’exclusion et de délation, correspond à une posture de rachat, à une mise en scène complaisante de soi, qui permet de se classer à bon compte dans le camp des « justes », de s’autodéfinir sans rire comme résistant des temps modernes, en mobilisant sans risques contre des fantômes. (…) Le temps des fascismes (et des communismes) est passé. L’ « antifascisme » contemporain n’est qu’un pur simulacre.

 

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L’extrême-gauche, une drôle d’idée du combat politique démocratique !

 

5 Réponses

  1. Avez-vous qu’Indymedia a publié une liste d’adresses et de noms des clients de la marque de fringue Thor Steinar, au moins en Suisse et en France ?

  2. Cette marque les gens qui ma porte savent pourquoi …

  3. Camarades,
    Voici mon blog ou je vous et mis en lien amis :

    http://smash-the-red.net/

    Salutation Natio

    smashthered

  4. Hello 🙂 nous avons la même démarche anti-antifa; j’ai ajouté votre site sur la page http://activeast.wordpress.com
    « No pasaran »

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