Dénazifié par ricochet ?

Le Parti populiste a une nouvelle scission. Elle s’appelle LA DROITE et est animée par un certain Aldo-Mungo dont la presse a très récemment, et de manière fort « opportune » , rappelé les démélés judiciaires liés à des affaires financière. Il serait d’ailleurs intéressant de savoir qui a fourni ces douments à la presse et pourquoi ? Mais ceci est une autre affaire !

Nous parlons de cet énième groupe populiste car dans un article de l’Avenir, un des « auto-proclamés spécialistes » de l’extrême-droite lave la (nouvelle ? lol) DROITE de l’injure suprême : « la droite n’est pas un parti fasciste ». C’est officiel puisque c’est quelqu’un de RésistanceS (site spécialisé dans la lutte contre le nationalisme) qui le dit !

Le problème est qu’Aldo-Mungo a pris la parole, en décembre 2010, aux Assises sur l’islamisation organisées en France par le Bloc Identitaire ! Et qu’on parle régulièrement de lui sur le site d’information Novopress, qui dépend du même Bloc Identitaire…

Donc, par rapport à la prise de position de RésistanceS, il y a deux options !

Soit Résistances pratique le deux poids, deux mesures en faveur d’Aldo-Mungo ? Pour quelles raisons ? Peut-être en rappport à l’inconditionnel appui de ce dernier à la politique de l’Etat d’Israël ?

Soit tout simplement, et nous pensons que c’est le plus probable, car RésistanceS reconnaît enfin que la mouvance identitaire n’est pas fasciste !

Et comme RésistanceS qualifie, lui-même, le Mouvement NATION de ce terme d’identitaire; il reconnaît par là-même que NATION, non plus, n’est pas fasciste…

Gageons que les responsables de ce Mouvement ne se priveront pas de répercuter cette intéressante analyse 🙂

Antifaahahah : copié mais pas égalé !

Nous savions que les militants d’extrême-gauche étaient d’attentifs lecteurs. Mais de là à ce qu’ils nous copient…

Enfin nous copier est un grand mot. On vous explique ! Un des nombreux « antifa warrior » de la toile vient de lancer un blog synonyme au nôtre. Mais c’est bien la seule ressemblance.

Déjà dans le nom, s’ils voulaient copier, ils se sont plantés : antifa hahaha, alors que l’original s’appelle antifa ahahah, avec le h à l’arrière !

Ne parlons pas de la présentation du blog, un enfant de 10 ans ferait mieux.

Quant aux publications, il s’agit pour l’essentiel d’archives de quotidiens dont certaines datent de plusieurs années.

Ceci dit que des blogs de gauche soient soporifiques, on y est habitué…Rappelons que le blog des « vaillantes forces antifa bruxelloises » n’a plus été mis à jour depuis mi-décembre 2012. Et encore, c’était pour une nouvelle fois pleurer sur ce qui leur est arrivé en juin dernier où, cherchant la confrontation avec les militants de NATION, les gauchistes avaient rencontré un peu vivement la police de Bruxelles…

Mais pour en revenir au premier blog évoqué, ce qu’on ne comprend vraiment pas, c’est pourquoi avoir baptisé ce « blog » antifa hahaha ?

Il est vrai que le créateur de ce blog fait partie de cette nouvelle génération antifa virtuelle et de facebook qui, outre professer une sorte de racisme social et intellectuel, démontre régulièrement sa complète ignorance de ce qu’elle prétend combattre.

On a lu ainsi un de ces spécialistes, demander publiquement sur facebook ce qu’était « Skrewdriver », groupe mythique d’une certaine jeunesse nationaliste. Quant à ses « collègues », ils passent leur temps à copier-coller de vieux articles et d’en faire des analyses foireuses. Analyses qui, dans certains cas, pourraient même leur valoir (s’il n’y avait pas l’anonymat de facebook) des condamnations pour calomnies et diffamation. A côté de cela, l’équipe de Résistances a un fond de déontologie journalistique.

Enfin bref, cette initiative n’aura sans doute comme seul résultat que de nouveaux militants de gauche auront l’occasion, confusion oblige, de venir lire les vérités que nous publions à leur sujet.

Mais bon ceci dit, vu le lectorat de nos « virtual antifa warriors », on ne risque pas d’avoir beaucoup de nouveaux lecteurs…

Allez mon chéri, va lutter contre le fascisme et la révolution !

Allez mon chéri, va lutter contre le fascisme et pour la révolution !

Antifa un jour, collabo de la police toujours !

Régulièrement, nous dénonçons le fait que l’extrême-gauche en général, et la mouvance dite « antifasciste » en particulier, ne sont que l’infanterie coloniale du système politico-financier. Et que derrière leurs discours révolutionnaire et anti-police, on trouve souvent les pires collabos des services de renseignement.

Deux faits récents ne font que nous conforter dans cette analyse.

Le premier est une publication facebook, provenant d’un organisateur d’une action devant l’ambassade de Grèce à Bruxelles pour protester contre la montée d »Aube Dorée dans ce pays.

Devant les inquiétudes de certains « antifa » virtuels de la présence d’1 (!) « troublion » de Jeune Nation, l’organisateur répond : « S’il est là pour foutre le bordel, sachez que la SE sera là, on s’est téléphoné cet après midi ».

Par les initiales SE, il faut comprendre « Sureté de l’Etat ».

Cette remarque est représentative de 3 choses:

1) A l’extrême-gauche, on est loin du temps de « l’auto-défense antifasciste », on serait plutôt passé à celui de « il m’embête, monsieur l’agent ». Même nous, on se demande si on ne préfèrait pas les antifa d’avant…

2) Ces révolutionnaires, dont certains n’hésitent pas à utiliser des avatars très révolutionnaires, trouvent normal d’avoir des communications téléphoniques avec la Sureté de l’Etat et s’en vantent même.

3) Incompétents ou mythomanes, l’intéressé confond manifestement la Sureté de l’Etat, dont tout le monde sait qu’elle ne s’occupe pas en direct du maintien de l’ordre public, avec la police de Bruxelles qui prend effectivement toujours un contact préalable avec des organisateurs de rassemblement ou de manifestations. Ce qui n’enlève rien à notre analyse n°2.

Le deuxième fait est cet article paru sur le site gauchiste Indymedia Bruxelles et qui raconte comment un agent de la Sureté de l’Etat (la vraie, cette fois-ci) a approché un militant de la gauche anarcho-bobo. Ala lecture de cet article, on constate qu’après une approche minimaliste, l’agent de renseignement n’a pas beaucoup tourné autour du pot pour annoncer la couleur et pour proposer une collaboration à notre « alternatif ». Ce qui démontre qu’au sein même de l’appareil de renseignement de l’état, on a fait l’analyse qu’une certaine mouvance de gauche n’a plus de révolutionnaire que le nom !

 

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