Le hooliganisme, au nom de la paix et de la démocratie…

Début décembre, un jugement concernant des hooligans a été traité de manière étonnamment discrète par les médias.

C’est sans doute lié au fait que cette fois, il s’agissait bel et bien de hooligans d’extrême-gauche.

On apprend ainsi que Aurélien, Hervé et Robin ont été lourdement condamnés après avoir été passé plusieurs semaines derrière les barreaux. La raison : leur participation active à de violents incidents lors du match Standard-Charleroi en septembre dernier.

Mais nulle part dans la presse, on ne parle de leur sympathie politique. Pour la connaître, il suffit de lire un tract distribué par le groupe de supporters violents nommé « Ultra Inferno » et qui à côté d’une diarrhée antifasciste, appelle à soutenir les camarades précédemment cités et qui étaient en détention. Tract largement repris sur plusieurs pages Facebook de groupes gauchistes.

Les mêmes qui disent que l’extrême-droite suscite la violence, sont en fait ceux qui soutiennent les hooligans du Standard…Pathétique !

PS ; pour info, les warriors de l’antifascime liégeois se sont fait caca dessus au tribunal puisqu’ils ont émis des regrets devant le juge et ont tous expliqué que ce comportement ne leur ressemblait pas….

 

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L’extrême gauche a encore tué !

Cette fois-ci, c’est en Espagne !

Victor Lainez, ancien béret vert et sympathisant nationaliste de 55 ans, a été lâchement assassiné par un militant gauchiste dans un quartier de Zaragoza.

La bagarre eu lieu le 8 décembre dernier à 100 mètres de chez lui. Son assassin, Rodrigo Lanza, l’a attaqué par derrière avec une barre de fer qui lui a fracturé le crâne : Victor décèdera 5 jours plus tard á l’hôpital.

Selon les témoins la discussion á commencé parce que Victor portait des bretelles aux couleurs du drapeau espagnol. C’en était assez pour ce courageux « antifa » chilien de 33 ans pour l’assassiner par derrière.

Rodrigo Lanza avait déjà été condamné par la justice á 5 ans de prison pour avoir mis, suite à des violences, dans un était végétatif, un agent de la garde urbaine de Barcelone en 2006. Le tueur était membre d’un collectif qui occupe l’ancienne prison de « Torrero ». Collectif qui, á plusieurs reprises, a reçu l’appui de la ville de Zaragoza en lui faisant de la publicité pour ses activités.

Cette fois encore, l’extrême gauche montre son vrai visage d’intolérance et de haine.

VICTOR LAINEZ, PRESENTE!

A gauche, le tueur – A droite : la victime