Les observateurs attentifs du Palais de Justice de Bruxelles commencent à avoir l’habitude d’y voir circuler Manuel « Manu » Abramowicz, désormais toujours flanqué de son fidèle Julien Maquestiau, qui le suit un peu partout dans ses errements au sein de la vénérable bâtisse, qu’ils arpentent depuis quelque temps déjà, au gré de leurs défaites judiciaires successives, qui les rapprochent de plus en plus de la condamnation pénale définitive.
Après la Chambre du conseil, puis la Chambre des mises en accusation, et enfin la Cour de cassation, c’est devant le juge répressif lui-même que l’inénarrable duo a comparu ce mardi 28 janvier, pour y répondre, notamment, de port public de faux nom.
Afin de les réconforter dans cette douloureuse aventure – bienvenue au club, les gars ! -, ces deux compères, qui jadis se réjouissaient chaque fois qu’un militant nationaliste devait répondre de ses opinions devant la justice, avaient appelé à l’aide le ban et l’arrière-ban de tout ce que la presse peut trouver de journalistes « engagés », mais aussi de militants sionistes, trotskistes et anti-faaasciiistes, que l’on peut mobiliser un mardi après-midi.
Ainsi, l’ancien journaliste de la RTBF Jean-Claude Defossé avait été sorti du formol dans lequel l’avait plongé son mandat de député bruxellois arraché à ECOLO pour venir, clopin-clopant, soutenir son camarade.
A l’autre bout du spectre idéologique, on pouvait également compter dans le public quelques militants du mouvement NATION, qui assistaient, goguenards, au spectacle de leur meilleur ennemi aux prises avec Dame Justice.
C’est que les méthodes journalistiques de l’officine trotskiste « RésistanceS.be », dont les deux prévenus sont respectivement président et porte-parole, les conduisent aujourd’hui à devoir s’expliquer, depuis le banc des prévenus, sur l’usage, via le réseau social Facebook, de la fausse identité d’une jeune et jolie femme blonde, d’idéologie nationaliste, employée afin de traquer les faits et gestes d’un ancien militant du Front National belge.
Pour tenter de limiter les dégâts, et peu satisfaits sans doute des prestations de leur conseil de toujours, Me Laurent Arnauts – sur ce coup-là, on les comprend -, Manuel « Manu » Abramowicz et son fidèle Julien Maquestiau avaient requis, en sus, l’assistance de Me Jacques Englebert, professeur de droit des médias à l’ULB, qui s’est empressé de demander au tribunal correctionnel un délai pour pouvoir répondre aux multiples arguments développés jusque-là, à bon droit, par la partie adverse,
Ils espèrent sans doute que ce vénérable pontife arrivera à les tirer du méchant guêpier dans lequel leur arrogance et leur infatuation les a plongés.
En attendant, « Manu » ne doit pas être très rassuré quant à son avenir judiciaire car il nous est revenu qu’il passerait l’essentiel de son temps libre à appeler tout son carnet d’adresses afin de trouver un moyen de coincer l’ignoble bête immonde de service qui est arrivée à l’envoyer devant le tribunal correctionnel…
Suite au prochain épisode !
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