Retour sur le fiasco antifa du 1er mai !

Nous nous répétons peut-être mais ce qui est fascinant, c’est cette tendance des « antifa » à se la jouer « militariste » et à faire des communiqués de victoire à tort et à travers comme s’il fallait se justifier sans cesse et comme si leur engagement politique se limitait à savoir qui pisse le plus loin.

Il en a été de même pour les incidents qui ont opposé militants de Nation à extrémistes de gauche des JOC et de l’USE le 1er mai dernier à Bruxelles.

Alors, les gauchistes peuvent s’auto-congratuler sans cesse. Mais les images sont sans appel. Et on y voit bien qu’une centaine de militants gauchistes dont un noyau dur équipé de casques, de bâtons, de bouteilles et de gants plombés n’ont pas été foutus de chasser 6 (!) militants de Nation. Et ont même dû reculer devant leur réaction !

Voici une petite vidéo assez explicite !

Un reportage télé ridiculise les JOC !

Voici une bonne semaine, les JOC (non pas les toilettes en argot, mais bien les « Jeunesses Organisées et Combattives ») ont organisé leur annuelle manifestation contre les violences policières.

Devant une mobilisation qui s’annonçait peu importante, nos gauchistes de service ont eu la « riche » idée de passer dans les communes « difficiles » de Bruxelles, histoire d’attirer les « jeunes » qui n’aiment pas la police. Et il n’en manque bien évidemment pas dans ces coins là !

Le hic est qu’on savait que les JOC, s’ils sont effectivement jeunes, ne sont guère combattifs (on l’avait vu après la raclée qu’ils avaient prises en avril dernier face aux militants de NATION) mais maintenant on sait qu’ils ne sont guère organisés non plus.

En effet, la caricature de service d’ordre qu’ils avaient rassemblés n’a pas pu contrôler les bandes urbaines qu’ils avaient mobilisés. Et la manif « contre les violences policières » a tourné en marche de la provocation et du vandalisme, provoquées par des jeunes crapules qui imposèrent leur loi du début à la fin aux petits bourgeois des JOC déguisés en « black-blok » de chez Aldi !

De plus, cerise sur le gateau, une équipe de la RTBF était présente et a montré, avec une vraie honnêteté, à quel point cette « manif » aura été un cirque complet et à quel point, les JOC jouent avec le feu tout en étant absolument incapables de maîtrser l’incendie possible !

Retenons ces quelques phrases « historiques » des membres du JOC, tirées de ce reportage :

  • « Mais on est là pour vous ! » crie un JOCiste un peu fâché à des racailles qui s’en moquent bien
  • « Si vous continuez, ça ne va pas aller » dit un membre du SO qui n’impressionne manifestement personne
  • « C’est un message de paix (sic)…il y a bien quelques débordements mais c’est gentil… » dit un des responsable des JOC (c’est le patron d’un café dont les vitres furent cassées qui doit apprécier le qualificatif…)
  • « Vous allez où ? Mais revenez ! » est l’ultime cri d’un des chefs des JOC lorsque les bandes s’éparpilleront dans le centre-ville !

Bonne vision donc ICI ! Nous, on se la repasse en boucle tellement c’est drôle !

La conclusion de tout cela est que les JOC, non seulement portent des noms de WC, mais en plus leurs manifs sont à chier…

 

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Peu de temps avant cette photo, les black-blocks de chez Aldi se faisaient ridiculiser par les bandes urbaines bruxelloises.

 

 

 

Dans le mot antifasciste, c’est fasciste qui compte !

Nous avions déjà évoqué sur ce blog notre analyse sur le fait que la mouvance dite « antifa » regorge d’individus instables, pathologiquement violents et qui, bien manipulés par l’extrême-gauche, se servent de l’alibi du combat « antifasciste » pour pouvoir assouvir leurs pulsions avec bonne conscience.

Deux exemples récents en France nous confortent dans cette analyse.

D’abord dans la région de St Etienne où ont été condamnés 4 « antifa » qui, en juillet 2012, avaient « chassé » du « facho » et n’avaient finalement réussi, à 4 ( !), qu’à tabasser une personne isolée, de surcroit handicapée…Comme dira très ironiquement le procureur lors du procès « C’est une grande page de la lutte antifasciste que les auteurs de l’agression ont écrit (sic) ».

A noter que le meneur, Fabien, qui a affirmé à la barre avoir « un grand sentiment de colère envers tout ce qui est nazi » , a été trouvé en possession de photos où il s’était déguisé en Hitler… 

Autre exemple où le dédoublement de personnalité et l’agressivité débile font bon ménage, Pierre B. qui est un des 4 profanateurs du cimetière juif de Sarre-Union le 12 février dernier. En effet, l’intéressé manifestait régulièrement en public sa haine du fascisme et de tout ce qui était l’extrême-droite…

Manifestement, la mouvance antifa ferait mieux de remplacer ses services d’ordre internes par quelques contingents de psychanalystes !!!

 

Gentils démocrates prêts à agresser de méchants patriotes qui osent se rendre à une réunion

Gentils démocrates prêts à agresser de méchants patriotes qui osent se rendre à une réunion

 

Mais qui sont les casseurs ? (3) – Résistances a menti !

Nous ne résistons pas à vous transmettre un communiqué envoyé aux médias par le Mouvement NATION !

Incidents du 6 novembre : Résistances a menti !

Dans un article plein d’amalgames dont il a le secret, le site web Résistances avait rendu public la participation de NATION à la manifestation syndicale du 6 novembre en des termes qui pouvaient faire penser que NATION avait une responsabilité dans les incidents survenus en marge de cette manifestation.

C’est d’ailleurs ainsi que l’ont répercuté aussi vite de nombreux médias.

Lundi dernier en conseil communal, Yvan Maieur, bourgmestre de Bruxelles a bien dû reconnaître qu’il n’en était rien et que la majorité des personnes identifiées étaient «une majorité de dockers et d’autres personnes provenant des milieux d’extrême gauche et/ou anarchistes. ».

Et c’est sans nul doute ce que les interpellations survenues ce matin dans le cadre de cette affaire confirmeront très bientôt !

Les très violents incidents survenus en marge de la manifestation syndicale du 6 novembre dernier (112 policiers blessés) sont dus à la mouvance d’extrême-gauche et non pas à NATION comme l’avait affirmé Résistances et comme l’avait maintenu le bourgmestre de Bruxelles.

Gageons que Résistances ne s’étendra pas sur les motivations politiques de ces casseurs-là !

Précisons enfin que si NATION condamne les violences des casseurs, le Mouvement reste néanmoins solidaire de tous ceux qui luttent légalement contre la politique d’austérité du gouvernement néo-libéral.

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Mais qui sont les casseurs ? (2)

Toujours en rapport avec la manifestation violente du 6 novembre dernier, ces images où l’on voit des « jeunes » des quartiers difficiles s’attaquer aux dockers !

Et ces jeunes-là, on peut vous jurer qu’ils ne sont pas d’extrême-droite…

Mais qui sont les casseurs (1) ?

Après avoir laissé les gens sérieux bien rire des accusations de la gauche comme quoi 3 militants d’extrême-droite avaient réussi à organiser les incidents du 6 novembre dernier lors de la manifestation syndicale (et qui ont fait 112 blessés dans les forces de l’ordre…), nous avons décidé de publier une série d’articles afin d’expliquer qui furent vraiment les casseurs de cette journée.

On peut sans nul doute les trouver au sein des groupes anarchistes qui manifestèrent ce 1er novembre en plein centre de Bruxelles, en lien avec la mort en France du militant gauchiste Remi Fraisse.

Lors de cette manifestation qui fut totalement sauvage et contre laquelle, la police n’entreprit rien; on a pu entendre les doux propos démocratiques du type :   « Flics, porcs, assassins », «  »Un flic, une balle, justice sociale »…

Il n’est donc pas impensable que l’on envisage qu’une partie des casseurs proviennent de ces milieux anarcho-gauchistes? bien connus des services de police mais profitant d’une impunité étonnante…

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Visages de la haine !

Décidément l’extreme-gauche française ne compte plus ses martyrs. Après Clément Méric où les gauchistes ont découvert qu’il arrive que les agressés se défendent, c’est avec Rémi Fraisse (Clément – Rémi, des prénoms qui ne sentent pas trop le prolétaire pourtant) qu’ils viennent de s’apercevoir étonnés que quand on vient avec des cagoules, des casques et qu’on jette des pierres contre la police, elle aussi peut riposter.

A la suite de la mort de ce militant lors d’une manifestation; Le ban et l’arrière-ban de l’extreme gauche s’est donc mobilisé dans la rue contre des autorités socialistes…pour lesquelles ils appelleront quand meme finalement à voter dans l’avenir.

Mais en attendant, commerces, voitures et policiers ont été victimes de la haine gauchiste comme vous pourrez le voir sur les images ci-dessous. Dans la seconde partie, vous pouvez entendre le niveau des militants anarcho-communistes…

En Belgique, on est loin de la meme fureur…Mais qu’attendre de la lamentable extreme-gauche belge ? Juste une petite manifestation « spontanée » soi-disant sans aucun policier alors que nous en avons nous-meme repérés plusieurs en civil (et oui les cocos, on est partout, on est derrière vous…). Notons quand meme un slogan assez marquant pour ceux qui parlent sans cesse de tolérance et de pacifisme : « Un flic, une balle, justice sociale ! « 

 

 

 

Selon que vous soyez anarchiste ou nationaliste…

Le 23 octobre prochain, le « Secours Rouge », organisation d’extrême-gauche violente dont font partie les ex « CCC », organise une soirée de solidarité pour un terroriste grec : L’anarchiste Nikos Maziotis, combattant de « Lutte Révolutionnaire », groupe anarchiste grec réputé pour sa violence !

Niko Maziotis est actuellement en prison à Athènes, c’est un homme qui pratique la guérilla urbaine depuis 2003…Et le 16 juillet dernier, il est arrêté (une nouvelle fois), suite à un contrôle d’identité qui s’est soldé par un échange de coups de feu entre lui et la police.

Maziotis a déjà un beau palmarès : attaque à la roquette contre l’ambassade américaine d’Athènes, placement de nombreuses bombes contre des tribunaux, des ministères, des commissariats, des banques,etc…

En 2010, Nikos Maziotis avait déjà été arrêté suite à une fusillade entre des membres de son groupe anarchiste et la police, qui s’étaitsoldée par la mort d’un des ses compagnons . Depuis sa sortie, il vivait dans la clandestinité.

Nikos Maziotis est un dangereux terroriste, et l’extrême-gauche belge lui rendra donc un hommage ! On suppose que curieusement, les réactions des bien pensants seront bien moins vives que lorsque des membres d’Aube Dorée tiennent une conférence en Belgique.

Certainement de la part du site Résistances, dont un des animateurs avait, voici quelques années, permis au Secours Rouge d’avoir un stand lors d’une activité qu’il organisait…

Ce genre de photo fait bien moins rire la gauche que lorsqu'il s'agit des députés d'Aube Dorée

Ce genre de photo fait bien moins rire la gauche que lorsqu’il s’agit des députés d’Aube Dorée

 

 

Les chiffres de la violence d’extrême-gauche en Belgique !

Depuis plusieurs années, nous publions régulièrement des articles qui dénoncent la montée en puissance d’une mouvance anarchiste violente en Belgique…

Mais comme nous ne sommes pas les raconteurs de mauvaises histoires du site anti-identitaire Résistances, nous avons décidé d’étayer nos dires, par quelques chiffres.

C’est ainsi que nous avons recensé 169 actes de violence politique dus à la mouvance anarchiste entre 2009 et 2013 !

Manifs violentes 9
Incendies véh. police 4
Incendies véhicules 42
Vandalisme 85
Incendies 21
Agressions 4
Menaces 1
Jet grenades 3

  • Par vandalisme, on entend : bris de vitre, tags, destruction de matériel, incendie de poubelles, etc…
  • Les incendies visent des bâtiments officiels, des entreprises, etc…
  • Les jets de grenade n’ont jusqu’à maintenant visé que des bâtiments (commissariat de police, distributeur de banques…)
  • Agressions sont des attaques physiques, le plus souvent contre des militants nationalistes en Flandre
  • Outre les véhicules de police, les véhicules incendiés sont soit la propriété de sociétés ciblées par les anarchistes, soit les véhicules de personnes du monde politique ou judiciaire.

Nos sources sont tout simplement les sites de type anarcho-marxistes[1] qui revendiquent parfois ouvertement, parfois à mots à peine couverts, certains actes de violence. Il va de soi que nous n’avons pas les moyens de tout suivre et tout savoir et que donc les chiffres fournis ici sont très certainement en deçà de la réalité.

On peut se demander quels hurlements, on entendrait à gauche si un groupe d’extrême-droite avait mené 169 actes de violence, sans quasiment aucune arrestation…Ah mais on oubliait, comme d’habitude, cette violence là est beaucoup moins grave !!!

[1] Du type « Brèves du désordre » ou « Suie et Cendres »

 

Jeunes humanistes un peu timides...

Jeunes humanistes un peu timides…

Cette violence qui n’existe pas !

Le 7 juin dernier, devant la maison communale d’Anderlecht, une quarantaine de militants d’extrême- gauche sont descendus dans la rue et ont essayé de mener une manifestation sauvage.

Le cortège particulièrement agressif n’a fait que quelques dizaines de mètres, avec des slogans comme : Ni flic, ni maton, ni maxi-prison – Il est temps de saboter la machine à expulser –  Hors-la-loi, contre l’Etat – Vol, pillage, sabotage, inaugurons leurs nouvelles prisons.

Rapidement, la police est intervenue et des coups ont été échangés. Au final, cinq personnes sont arrêtées. Elles passeront quelques heures en cellule avant d’être relâchées.

Avez-vous entendu parler de ces violences ? Non ! Bien sur que non ! La violence d’extrême-gauche n’est que rarement mise en exergue par nos médias.

Imaginez que des nationalistes aient fait la même chose ! Imaginez qu’ils se soient affrontés avec  la police ! Quels gros titres aurait-on pu lire ? Et les gens arrêtés s’en seraient-ils tiré avec seulement quelques heures d’arrestation administrative ?

Bien sur que non ! Mais les casseurs d’extrême-gauche ont une impunité totale dans ce pays. En particulier, ceux que l’on retrouve dans une mouvance anarchiste de type « no border » qui de plus, dispose de relais internationaux.

Nous y reviendrons bientôt !

feuauxcomicos