Paroles de tueurs !

La librairie Acrata est une librairie d’extrême-gauche, de tendance anarchiste et située en plein centre de Bruxelles.

Elle organisera ce jeudi 21 novembre, une soirée évoquant le sort d’anarchistes grecs en prison pour braquage de banques.

Les braqueurs sont ainsi nommé comme des « compagnons » et on va y étudier les textes écrits par les criminels pour expliquer leur passage à l’action violente : braquages, incendie, agressions, etc…

Notons aussi que cette mouvance anarcho-marxiste grecque est sans doute derrière l’assassinat de deux membres d’Aube Dorée à Athènes voici quelques semaines. En effet, il semblerait que l’arme utilisée dans le double meurtre devant les locaux d’Aube dorée est du même type que celle qui a tué un policier en 2009. Attentat qui avait été revendiqué par un groupe anarchiste dénommé « La secte des révolutionnaires ».

Pour rappel, la librairie en question a déjà été perquisitionnée à deux reprises par la police fédérale dans le cadre d’affaires liées à des destructions divers de bien publics et privés. Après ça, nos « anars » se demanderont encore pourquoi ça leur arrive !

autonomie

Message de démocratie de nos amis antifa !

Les collabos des antifa !

Il est bien connu qu’en Belgique, les soi-disants « antifascistes » ne sont actifs que sur Internet ou dans leur rôle préféré d’auxiliaire de police. Pour se donner l’impression d’être des « spécialistes », ils aiment bien présenter les choses les plus ordinaires comme des révélations. Ils sont les spécialistes pour enfoncer des portes déjà ouvertes. Et aiment bien se faire mousser.

Pour cela, certains passent de longues heures sur leur pc, à faire du copier-coller. D’autres collectionnent brochures, tracts, journaux. D’autres vont quand même à la recherche de l’info.

Et pour cela, ils prennent régulièrement contacts avec des gens qui ont été ou sont dans la mouvance dite « d’extrême-droite ». Ces derniers se faisant un plaisir de les renseigner.

Mais qu’est-ce qui peut donc pousser des gens qui se prétendent de nos idées à collaborer avec cette extrême-gauche ?

Enquête sur ces collabos des « antifa ».

Il y a bien entendu l’aigri. Celui qui estime avoir une revanche à prendre et qui règle ses comptes avec son ancienne organisation ou ses anciens camarades. Le cas  le plus récent est cette liégeoise, qui a fait le tour de toutes les organisations nationalistes. Et qui après avoir été virée en dernier ressort de NATION, après 4 mois à peine, s’est mise à faire le tour de toute la mouvance antifa (militants anarchistes liégeois, rédacteur de Résistances, étudiant faisant une thèse universitaire hostile à NATION)  pour dénoncer le peu qu’elle savait sur les anciens petits camarades.

Il y a celui qui fonctionne à l’égo. Les antifa lui font penser qu’il est important, qu’ils ont besoin de lui pour réaliser leurs travaux « journalistiques ». Il est facile à trouver, c’est celui qui est souvent cité, alors que cela n’amène rien à l’article, comme étant selon le cas « un organisateur hors pair » ou « possédant un réel charisme ».

Il y a celui qui y voit son intérêt en permettant soit de flinguer la concurrence soit de faire mousser l’une ou l’autre de ses propres initiaitves. Récemment, Résistances annonçait ainsi une réunion d’un petit groupe virtuel avant même qu’elle ait lieu, donnant ainsi de ce groupe un peu de visibilité alors qu’il n’a quasiment aucune activité politique de quelque type que ce soit. Qui a donc bien pu les rencarder ?

Enfin, il y a le « neuneu » un peu dépassé par tout cela et qui n’hésite pas à donner son téléphone à tout et n’importe qui et surtout à simplement répondre quand on lui pose des questions. Ainsi, un membre d’un groupe de droite, bien connu pour ses positions excessivement pro-israéliennes, reconnaissait sur facebook que la rédaction de Résistances avait les coordonnées de plusieurs membres et les contactait quand elle avait besoin d’infos.

Bref quoi qu’il en soit, rien ne justifie ce type de collaboration ! De plus, toute info fournie à ces gens là, qui peuvent même paraître banale, peut être utilisées par nos adversaires pour des actes bien plus graves encore que d’écrire des articles…Ainsi qu’on vient de le constater avec l’assassinat en Grèce de deux militants nationalistes par un groupe d’extrême-gauche !

Les collabos des antifa doivent être mis au ban de notre famille de pensée !

Antifa bla bla bla !

pinocchiookConnaissant manifestement un certain passage à vide au niveau de la mobilisation militante, les forces vives de la défense de la démocratie face à l’extrême-droite semblent se concentrer sur l’aspect « conférences » de la lutte. C’est ainsi qu’on en a compté au moins deux, rien que pour le mois d’octobre : à Waremme et à La Louvière.

De la première, on se souviendra (enfin nous, car le public lui n’en gardera sans doute aucun souvenir marquant) de l’intervention d’un étudiant de 1ère master qui travaille à une thèse sur le mouvement NATION.

Et il a eu beau parler de « démarche scientifique », « sources », « critique », « université » et j’en passe ; on a surtout vu un étudiant (qui semble déjà assez âgé d’ailleurs) essayer de se faire passer pour spécialiste d’un sujet qu’il ne connait manifestement pas vraiment ! Le «spécialiste» de NATION a en effet participé à 2 (!) activités de NATION en un an (la dernière remontant à mars 2013). Quant à ces informations, notre étudiant-maître n’a pas jugé utile de les référencer ni elles ni ses powerpoints et encore moins de donner une bibliographie au public comme le veut pourtant l’usage aux études supérieures. Ce qu’on a principalement vu, c’était le parti pris, l’ignorance de son sujet et une hostilité à peine voilée.

Injures habituelles : fascisme, nazisme, extrême droite et blabla habituel. Mais en y ajoutant des attaques personnelles contre les cadres de NATION, des injures gratuites et même des diffamations qui pourraient peut -être bien lui coûter cher en dommages et intérêts. Mais d’étude réelle d’un mouvement politique, pas une trace !

Le clou du spectacle fut une sortie un peu hardie de notre mémorant qui, pour illustrer les « messages de haine » du mouvement, avait cru bon de parler un peu de la campagne anti Charia. Il fut assez étonné et bien embarrassé de se voir rétorquer par un membre averti du public qu’il ne voyait pas en quoi, le rejet de la Charia était un message de haine, vu que les organisateurs de la journée (le centre de la laïcité) y étaient bien entendu aussi hostiles.

Cette énième bourde aurait dû immédiatement mettre un terme à l’exposé et expédier la présentation en session de rattrapage, toujours selon la démarche scientifique … Or il n’en fut rien et notre futur docteur en journalisme enchaîna en grand format des diapos des actions récentes du mouvement et continua à se distinguer par un exposé d’un niveau pitoyable ! C’est pas demain qu’il prendra la place de redacteur en chef, porte-parole et webmaster (tout en un) du site anti-nationaliste Résistances.

C’est d’ailleurs Résistances qu’un conglomérat d’associations anti-identitaires de La Louvière (qui réunirent environ 20 personnes !!!) invita 15 jours plus tard pour parler de … NATION (oui désolé pour d’autres groupes de droite beaucoup plus virtuels, ce n’est pas nous qui influençons les thèmes des conférences de gauche).

Là aussi, beaucoup de haine et d’informations approximatives. Ainsi que les vieux poncifs gauchistes : «NATION est le chien de garde du capitalisme et une milice anti-ouvrière». Rien que ça ! Une once d’honnêteté quand même quand l’intervenant de Résistances n’a pas caché sa sympathie pour l’extrême-gauche.

A noter un poilant passage sur l’orientation sexuelle des militants masculins d’extrême-droite. On ignore si l’intéressé a payé de sa personne pour en être aussi bien informé…

Bref, l’extrême-gauche parle beaucoup de NATION ! Aux dernières nouvelles, nos camarades de NATION (ben oui, on reconnaît qu’on les a à la bonne…) continuent à coller et à se réunir où et quand ils le veulent !